Portée par l’euphorie de #BlackPantherSOLIT je suis allée acheter mon exemplaire de Lemonade et j’ai enfin pu voir, écouter et juger par moi-même THE album de l’année. Au final, c’est pas mal, voire même plutôt bien, mais quand un peu surfait par certains commentaires/critiques.
Art
Qahera, la super héroine en hijab !
another installment of my comic, featuring Qahera the hijabi superhero! this time its mostly about sexual harassment – and the majority of the themes in this comic are based on real experiences with street harassment.
Jeudi découverte : Qahera, hijabi, féministe & superheroine ! Part. 3 : le harcèlement de rue
« Yellow Fever », de Ng’endo Mukii
« Yellow Fever », un court métrage vachement bien fait sur le blanchiment de la peau, le colorisme et les normes de beauté occidentalo-centrées,par la réalisatrice nigériane Ng’endo Mukii.
A voir et à partager !
La réalisatrice Ng’endo Mukii s’intéresse à la couleur de peau et au concept de race. Au fil du temps, les représentations et théories auxquelles ces notions sont associées ont évolué. D’après Ng’endo Mukii, le décalage « topographique » entre l’illusion de la beauté et la réalité déforme notre perception de la couleur de la peau et du corps. A l’heure de la mondialisation, les canons de beauté sont uniformisés, ce qui altère l’image que les gens ont d’eux-mêmes. Dans certains pays d’Afrique, des femmes tentent d’atteindre cet idéal esthétique en utilisant des crèmes éclaircissantes.
Réalisatrice, scénariste, animatrice et monteuse, Ng’endo Mukii est originaire du Kenya. En Afrique, elle a fréquenté une école catholique avant d’aller étudier au Royal College of Art de Londres. En 2012, elle termine brillamment sa formation avec « Fièvre jaune », son film de fin d’études.
Source : http://www.arte.tv/guide/fr/049374-000/fievre-jaune?autoplay=1?autoplay=1
Maya Angelou : « …thrive with passion, compassion, humour and style »
“My mission in life is not merely to survive, but to thrive; and to do so with some passion, some compassion, some humor, and some style.” – Maya Angelou (1928-2014)
Hollywood, We Are Watching What You Do to Lupita Nyong’o. And What She Does to You.
Lupita Nyong’o’s story is one of an elegance carefully cultivated. This is no sudden ascendancy to delicate silks and bold brocades, no tale of a girl plucked from obscurity or hardship, conferred the brass ring of Tinseltown by princely powers-that-be. It is, instead, a story of privilege—a privilege enjoyed by…A very good article about the rise and triumph of Lupita Nyong’o in the context of white Hollywood and black/WOC actress systematic discrimination. I would argue about some points here and there, especially about the idea that Lupita, being a privileged black Kenyan, may be unself-conscious about (and kind of “free” from) the race dynamics in America. For race dynamics (and racism) can be experienced world wide, even in Africa. Lupita’s speech about being alienated due to colorism while growing up in Kenya is just one example of the many way race and racism impacted even on the most privileged of us. But overall this is a very insightful article which deals with the same arguments I made in my last Oscars post on Sunday.
Très bon article (en anglais) sur le triomphe de Lupita (yeah!!!!), les circonstances (surtout ses privilèges de classe) qui l’ont rendu possible et l’espoir mesuré ou du moins les attentes qu’il crée vis-à-vis d’un système hollywoodien où les actrices noires sont systématiquement doublement discriminées.
Wep, “representation matters” !
Hollywood, We Are Watching What You Do to Lupita Nyong’o. And What She Does to You.
Lupita !
Lupita Nyong’o’s Speech at the ESSENCE Black Women In Hollywood Luncheon
Le super discours de l’actrice kenyane Lupita Nyong’o (favorite pour l’Oscar du meilleur second rôle féminin pour le film 12 Years of Slave) sur la beauté, la couleur de peau, le racisme/colorisme, l’aliénation et l’estime de soi, lors de la soirée “Black Women in Hollywood” organisée le 27 février par le magazine féminin Essence où elle a reçu le prix du meilleur espoir.
Lire ici et ci-après le texte dans son intégralité en anglais; et ici la traduction en français (merci Chacha).